Le SILL (Socle Interministériel des Logiciels libres) regroupe les logiciels libres recommandés par l’état pour l’ensemble de ses administrations, conformément à l’article 16 de la loi pour une République numérique. Il regroupe aujourd’hui pas moins de 436 logiciels et 86 organismes participants.
Oui, le logiciel libre, ce n’est pas que pour les geeks 😉 Et c’est très bien que l’état les utilise, cela garanti plus de transparence, de souveraineté et devrait être la norme pour l’état, du moins, c’est mon point de vue. Il y a d’ailleurs une mission logiciels libres et communs numériques au sein de l’état, qui dispose même d’un compte sur Mastodon.
En cette fin d’année, plusieurs logiciels ont fait leur entrée, en voici certain :
- Ma Carte, un logiciel de cartographie comme son nom l’indique,
- Galène, un serveur de visioconférence,
- Le framework web en Python Django,
- Le moteur de jeu Minetest,
- Le CMS Joomla,
- L’outil de business intelligence Metabase.
Le libre est présent dans tous les domaines, et les états devraient s’y engager encore plus, compte tenu des avantages que cela procurent.